7e biennale des verriers à Carmaux
Donc après avoir visité le matin de ce dimanche 4 octobre 2015 le musée du Saut du Tarn à St-Juéry, nous voilà arrivés à Carmaux à la biennale des verriers.
Chacun de nous était libre de circuler à notre guise, n'ayant pas de visite guidée de prévue ni de parcours précis indiqué.
Avec un petit groupe j'ai commencé par la visite de l'exposition. Il y avait plus de 50 exposants, venus des quatre coins de France. On pouvait admirer leurs oeuvres présentées toutes plus belles les unes que les autres. Il y avait de bijoux, des sculptures, lampes, stylos et plumes de verre, vitraux et j'en oublie.
Avec un petit groupe j'ai commencé par la visite de l'exposition. Il y avait plus de 50 exposants, venus des quatre coins de France. On pouvait admirer leurs oeuvres présentées toutes plus belles les unes que les autres. Il y avait de bijoux, des sculptures, lampes, stylos et plumes de verre, vitraux et j'en oublie
Puis l'heure de se ravitailler arriva. Il y avait la possibilité de déjeuner sur place, pour ma part j'avais emmené un bon casse-croûte. Je n'étais pas la seule, à plusieurs nous avons donc mangé sur de gros rochers, dans le parc, le soleil était de la partie.
Une fois rassasiés, nous avons voulu assister à une démonstration de souffleurs de verre. Sans succès hélas, il y avait foule, et il était impossible de voir quelque chose. Après un long moment d'attente, espérant pouvoir accéder à cette démonstration, nous avons renoncé et sommes partis visiter le musée.
Ce fut à nouveau un régal pour les yeux. Dans une lumière tamisée, un décor approprié, brillaient tous ces beaux objets, témoins du talent de leurs auteurs.
J'ai voulu une dernière fois tenter de voir les souffleurs de verre. Rien n'y fit, il y avait toujours autant de monde qui attendait leur tour. Il fallait repartir.
Le seul bémol c'est d'être restée avec l'envie de voir cette démonstration. Cela se passait dans une grande salle, mais il n'y avait qu'un accès, on ne pouvait pas circuler à l'intérieur. et on ne pouvait voir que d'un seul côté de la pièce.
Tant pis, ce fut une belle journée quand même.